Je suis toujours émerveillé de constater, par les messages que je reçois et la lecture de quelques sites amis, combien de révolutionnaires désabusés, rescapés du trotskysme ou éternels dissidents du communisme, en arrivent par sociologues et politologues interposés, au douloureux constat que le commun des mortels ne veut pas, et sans doute n’a jamais voulu de la Révolution. Le Commun des Mortels (je dis bien le Commun car il y a quelques Mortels, qui, sans se croire immortels comme les (...)