Je vous y renvoie :
Rapa Nui
D’aucuns ont fait de l’exploitation inconsidérée des ressources végétales de l’île par les autochtones jadis coupés de tout lien avec le monde extérieur, la métaphore de la destruction suicidaire actuelle de notre planète par l’espèce humaine.
Il devient banal aujourd’hui de faire de la marée touristique qui déferle sur l’île la métaphore de la destruction par cet envahissement réducteur de toutes les spécificités dont se nourrit l’universel…
Vous avez peut-être manqué à ce sujet le beau documentaire qu’Arte vient de diffuser. Si c’est le cas, profitez de sa présence encore sur le net :