J’écrivais récemment, à propos de l’isolat marseillais, qu’il est à la fois si près (60 kms) et si loin de nous (mentalités spécifiques).
Cet isolat fait pourtant partie de mon identité. Il a inspiré un de mes romans noirs, Treize reste raide, au point que bien des lecteurs ont pensé que j’étais Marseillais.
Oui, Marseille est une des facettes de mon identité.
Je crois l’avoir surtout écrit dans une nouvelle, et c’est ma nouvelle préférée : "La belle de Mai" :
La Belle de Mai, nouvelle (longue)
Et cet air qui me trotte toujours dans la tête :
"Le petit bal de la Belle de Mai..."