J’écrivais ici il y a un mois :
« Des problèmes médicaux familiaux font que je n’aurai pas la tête à assurer la continuation de ce site de façon régulière.
En attendant, je vous souhaite un bel été. »
Je mesure aujourd’hui combien il est vain de s’enfermer dans le silence pour supporter ce qui peut frapper vos proches.
Je recommencerai donc, en ce versant déclinant de l’été, à égrener à l’occasion quelques considérations sur l’air du temps et quelques retours sur mes recherches.
Et bien entendu, je vous souhaite une bonne fin d’été, atterrissage en douceur vers les rudes secousses qui nous attendent à la rentrée. Car qui sait comment se réveillera cette opinion anesthésiée et requinquée ( ?) au grégarisme vacancier, si tant est qu’elle se réveillera ?
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