Internet est cruel, qui n’efface rien. En 2015, tout fier de son tropisme sud-américain, tout auréolé de ses contacts avec les pays d’Amérique latine où la gauche bolivarienne au pouvoir – pour lui réservoir d’idées et de programmes -, l’accueillait comme un chef d’État, tout enthousiasmé par la victoire historique de son vieil ami grec Tsipras, et de son mouvement Syriza dont il s’inspirait, notre Líder maximo s’en allait soutenir en Espagne, et en espagnol, l’essor du mouvement Podemos dont il (...)