Je ne peux pas dire que la poésie de François Coppée soit ma tasse de thé. Mais enfin, elle a eu en son temps un immense succès populaire, ce qui n’est pas rien, et, à certains égards, même si cela peut vous faire sourire, elle me touche. Ainsi quand elle évoque ce temps suspendu de la banlieue il y a si peu encore territoire rural au-delà des fortifications, et désormais déchue, promise au prolongement de la Cité, refuge provisoire étrangement romantique duquel l’on peut contempler Paris. Je vous (...)