Michel Ange Je n’ai rien contre les identités. J’en possède moi-même une bonne quarantaine. Mais je ne me sens pas porté à remplacer la lutte pour la démocratie et la justice sociale par des revendications identitaires qui revisitent l’histoire… Sinon, où en serais-je ?
Peut-être me lamenterais-je en chantant le couplet du troubadour Bernard Sicard de Marvejols, qui écrivait après la conquête par la croisade française :
O Tolosa e Provença E la terra d’Argença Besiers e Carcassés Cùm vos vi e cùm vos (...)