Suite à mon billet À propos de Stendhal, j’ai sorti de son étagère La Lumière de Stendhal, d’Aragon, Denoël, 1954, dédicacé par l’auteur. Je l’avais acheté à une fête progressiste du Livre. C’était en 1955 et j’avais 19 ans.
À propos de Baudelaire, qui avait qualifié Le Rouge et le Noir de « caprice sans motif », Aragon écrit cette exécution en règle :
« Le Rouge et le Noir, caprice sans motif ! Il faut à Baudelaire, antiréaliste enragé, qui hait Molière, qui hait la peinture flamande, qui hait Courbet, qui hait (...)