Je fréquente assidûment le merveilleux « Gallica presse » qui nous permet de consulter les journaux du XIXe siècle et de la première moitié du XXème (et la numérisation continue). J’ai également le souvenir des journaux que je lisais dans mon jeune âge. Les titres étaient factuels, et, s’il leur arrivait de pointer l’événement avec indignation, ironie ou approbation, il me semble qu’ils n’infantilisaient pas le lecteur. Aujourd’hui, quelle que soit l’orientation du journal, qu’il soit noblement parisien ou (...)