Dans mon approche de l’Italie, je dois beaucoup à Giancarlo De Cataldo (1956, Tarente, Pouilles), magistrat mais aussi, entre autres, romancier et scénariste. Je ne vais pas évoquer ici la totalité d’une œuvre très abondante et protéiforme, mais signaler seulement, chronologiquement, les romans et leur traitement cinématographique qui m’ont le plus marqué.
D’abord Romanzo criminale, (Einaudi 2002, édité en français, Métailié, 2006), qui se déroule du début des années 1970 à la fin des années 1980. Le (...)