Un aveugle animalcule, se faufilant dans les failles de l’écosystème néocapitaliste mondialisé, et nourri par lui, est venu nous révéler que nous ne sommes ni maîtres ni possesseurs de la nature. L’an 21 sera-t-il comme son prédécesseur celui où la solitude est proclamée vertu sociale, quand le proche devient ennemi s’il est là, en « présentiel » comme dit la ridicule novlangue ? À ce propos, je viens de lire avec grand intérêt un ouvrage pluridisciplinaire et polyphonique Vivre sans. Voici la quatrième de (...)