Jean-Luc Mélenchon ne décolère pas depuis que les socialistes ont refusé de voter la censure. Si la censure était passée, et Bayrou démissionné, la crise de régime pouvait emporter le président. D’où élection présidentielle précipitée, dans laquelle Mélenchon nous jouerait l’air cher jadis à Macron : face à Le Pen, vous ne pouvez que me choisir. Las, ce Mélenchon pour qui j’ai voté deux fois, joyeusement en 2012, réservé en 2017, et devant lequel je me suis abstenu en 2022, est devenu un repoussoir pour bien (...)